Le « Brunswick » et le « Vengeur du Peuple » | Nicolas Pocock | 1795

Prix ​​habituel £15.00

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Taille: A4 Paysage

Un incident de la bataille de cinq jours connue sous le nom de « Glorieux Premier Juin 1794 », pendant la guerre d'indépendance française, 1793-1802, entre la flotte britannique sous Lord Howe et la flotte française sous le contre-amiral Villaret-Joyeuse.

Ce fut la première grande bataille navale des guerres françaises de 1793-1815. Elle eut lieu dans l'Atlantique, à six cents kilomètres à l'ouest d'Ouessant, alors que les Français tentaient d'intercepter et d'escorter une importante flotte céréalière venue d'Amérique, tandis que les Britanniques tentaient également de l'empêcher en capturant le plus de navires possible. Les manœuvres françaises qui s'ensuivirent laissèrent aux Britanniques trois jours pour positionner leur flotte en vue de l'attaque principale. Bien que Villaret-Joyeuse contribuât à assurer le passage sans encombre du convoi céréalier français (qu'aucune des deux flottes n'avait aperçu) en repoussant Howe, il dut également s'efforcer de minimiser les dommages causés à ses navires de guerre.

Le quatrième jour, Howe rattrapa les Français et, lors de la bataille qui s'ensuivit, six de leurs navires de ligne furent capturés et un coulé. Lorsque le « Brunswick » britannique, armé de 74 canons, entra en collision avec le « Vengeur du Peuple » français, ses artilleurs tirèrent alternativement à travers ses ponts et sous la ligne de flottaison. Le « Vengeur du Peuple » finit par couler, un événement inhabituel pour un navire de guerre en bois, suite à une action ennemie.

Le tableau représente le « Vengeur du Peuple » à droite, presque à l'arrière et battant pavillon français, en action avec le Brunswick à bâbord, vu de l'arrière-garde, arborant le pavillon rouge. Le « Brunswick » est également en action, à bâbord, avec l'« Achille », 74 canons, représenté à l'arrière et démâté. Les trous dans les voiles des navires témoignent de la férocité de la bataille. À l'arrière-plan à gauche, deux autres navires sont en action, tandis que l'arrière-plan à droite est obscurci par la fumée. Cet effet a été observé par l'artiste depuis la frégate « Pegasus », 28 canons, qui a rempli un carnet de croquis et de notes décrivant le déroulement de la bataille. Il a écrit : « Le combat continua avec une grande violence jusqu'à environ une heure et les navires démâtés semblaient émerger de la fumée de telle manière qu'on ne pouvait même pas distinguer qui ils avaient affronté en dernier. » Il accordait une importance considérable à l'exactitude et se référait à ses dessins annotés et à ses esquisses dans la production de ses peintures à l'huile.

Imprimer:

Un papier d'impression d'art haut de gamme, épais (200 g/m²), au fini lisse et net. Ce papier de qualité musée est extrêmement homogène et convient parfaitement aux grands graphiques ou illustrations en couleur. Sa finition mate met en valeur les différents tons et reflets des œuvres d'origine, contribuant ainsi à la création de superbes œuvres.

- Toutes les impressions comprennent une petite bordure blanche de 0,25 pouce pour assurer un espace pour l'encadrement.

Nos références écologiques incluent :

  • Papier approuvé FSC ou issu de sources durables
  • Imprimé avec des encres à base d'eau
  • La réalisation locale réduit les émissions de carbone
  • Ne contient pas de plastique

Tailles :

A1 = 33,1 x 23,4 pouces

A2 = 23,4 x 16,5 pouces

A3 = 16,5 x 11,7 pouces

A4 = 11,7 x 8,3 pouces